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Bridget, une beauté vénéneuse et manipulatrice, fuit New York avec un magot de 700 000 $ dont la moitié appartient à son mari Clay. Changeant d'identité, Bridget fait profil bas dans un bled paumé. Sa rencontre avec Mike, un jeune naïf tombé sous son charme, lui donne des envies d'une ultime et dangereuse arnaque, the last seduction...
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Aujourd’hui disparu, le thriller érotique hollywoodien a donné, entre la fin des années 80 et le milieu de la décennie suivante, des résultats aussi estimables (Jade de William Friedkin, encore avec Linda Fiorentino, Sexcrimes, sorte de queue de comète de la mouvance) que franchement nanardesques (Sliver, Color of Night ou encore l’inénarrable Strip-Tease). Si Last Seduction s’inscrit, en apparence, dans ce courant, il se révèle finalement assez sage et son intérêt se situe ailleurs. Dahl ménage ses scènes de sexe (plutôt soft) et préfère s’appuyer sur les excellents dialogues très crus signés Barancik (futur coscénariste de Domino aux côtés de Richard Kelly) pour faire monter la température. Ce qui se dessine in fine à travers le plan de cette arnaqueuse froide et manipulatrice, c’est la réécriture et la modernisation d’un genre majeur du cinéma américain : le film noir. Au-delà des nombreuses références à des classiques comme Assurance sur la mort ou Le Facteur sonne toujours deux fois et de la musique jazzy, c’est à travers un jeu de dupes et de faux-semblants que le récit gagne une dimension ludique en retournant les conventions de ses modèles.
Bridget, une beauté vénéneuse et manipulatrice, fuit New York avec un magot de 700 000 $ dont la moitié appartient à son mari Clay. Changeant d'identité, Bridget fait profil bas dans un bled paumé. Sa rencontre avec Mike, un jeune naïf tombé sous son charme, lui donne des envies d'une ultime et dangereuse arnaque, the last seduction...
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Aujourd’hui disparu, le thriller érotique hollywoodien a donné, entre la fin des années 80 et le milieu de la décennie suivante, des résultats aussi estimables (Jade de William Friedkin, encore avec Linda Fiorentino, Sexcrimes, sorte de queue de comète de la mouvance) que franchement nanardesques (Sliver, Color of Night ou encore l’inénarrable Strip-Tease). Si Last Seduction s’inscrit, en apparence, dans ce courant, il se révèle finalement assez sage et son intérêt se situe ailleurs. Dahl ménage ses scènes de sexe (plutôt soft) et préfère s’appuyer sur les excellents dialogues très crus signés Barancik (futur coscénariste de Domino aux côtés de Richard Kelly) pour faire monter la température. Ce qui se dessine in fine à travers le plan de cette arnaqueuse froide et manipulatrice, c’est la réécriture et la modernisation d’un genre majeur du cinéma américain : le film noir. Au-delà des nombreuses références à des classiques comme Assurance sur la mort ou Le Facteur sonne toujours deux fois et de la musique jazzy, c’est à travers un jeu de dupes et de faux-semblants que le récit gagne une dimension ludique en retournant les conventions de ses modèles.
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